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louloute45

28 avril 2004

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"Si quelqu'un d'entre vous manque de sagesse, qu'il la demande à Dieu, qui donne à tous simplement et sans reproche, et elle lui sera donnée..." (Ja. 1.5)

Le début de ce texte me paraît particulièrement optimiste. En effet, il semble impliquer que le manque de sagesse serait une exception : "quelqu'un d'entre vous" ! Tous les autres auraient-ils donc toute la sagesse nécessaire ?<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

Mais que signifie exactement le mot traduit ici par sagesse ? Il dénote une excellence mentale au sens le plus élevé, exprimant une attitude autant qu'un acte de décision. Il implique également la connaissance et les meilleurs moyens de la mettre en œuvre.

Le livre des Actes nous parle de chrétiens ayant cette qualité indispensable pour les diacre, qui devaient être "pleins d'Esprit-Saint et de sagesse", comme l'était Étienne, dont il nous est dit que ses contradicteurs "ne pouvaient résister à sa sagesse et à l'Esprit par lequel il parlait." (Actes 6.3 ; 10). Nous voyons clairement que cette sagesse était étroitement liée au Saint-Esprit.

Les deux premiers chapitres de la 1ère épître aux Corinthiens opposent deux sortes de sagesses :

1.       La sagesse du monde, ou humaine (1 Co. 1.20 ; 2.13), qui provient de la connaissance naturelle limitée et, comme l'exprime Pierre : "de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères" (1 Pi. 1.18).

2.       La sagesse de Dieu (1 Co. 1.21, 24 ; 2.7), qui a sa source dans une révélation du Saint-Esprit : "Or nous, nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa grâce. Et nous en parlons, non avec des discours qu'enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu'enseigne l'Esprit, employant un langage spirituel pour les choses spirituelles. Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge. L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne." (1 Co. 2.12‑15)

Ce que dit Paul dans ce texte n'est pas l'apanage de quelques privilégiés, mais de tous ceux qui sont nés de Dieu, et qui vivent dans la communion du Saint-Esprit. Mais n'oublions pas que si nous voulons bénéficier des trésors de la sagesse divine, nous devons nous les approprier par la foi. Dieu a promis de nous donner la sagesse dont nous avons besoin. Si nous découvrons que nous fonctionnons encore trop selon la sagesse humaine, nous pouvons demander au Seigneur sa sagesse, et il nous l'accordera, si nous la demandons avec foi :

"… Mais qu'il la demande avec foi, sans douter ; car celui qui doute est semblable au flot de la mer, agité par le vent et poussé de côté et d'autre. Qu'un tel homme ne s'imagine pas qu'il recevra quelque chose du Seigneur : c'est un homme irrésolu, inconstant dans toutes ses voies." (Ja. 1.6‑8) 

A suivre... 

 
Pasteur Jean-Claude Guillaume 
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28 avril 2004

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"Si quelqu'un d'entre vous manque de sagesse, qu'il la demande à Dieu, qui donne à tous simplement et sans reproche, et elle lui sera donnée..." (Ja. 1.5)

Le début de ce texte me paraît particulièrement optimiste. En effet, il semble impliquer que le manque de sagesse serait une exception : "quelqu'un d'entre vous" ! Tous les autres auraient-ils donc toute la sagesse nécessaire ?<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

Mais que signifie exactement le mot traduit ici par sagesse ? Il dénote une excellence mentale au sens le plus élevé, exprimant une attitude autant qu'un acte de décision. Il implique également la connaissance et les meilleurs moyens de la mettre en œuvre.

Le livre des Actes nous parle de chrétiens ayant cette qualité indispensable pour les diacre, qui devaient être "pleins d'Esprit-Saint et de sagesse", comme l'était Étienne, dont il nous est dit que ses contradicteurs "ne pouvaient résister à sa sagesse et à l'Esprit par lequel il parlait." (Actes 6.3 ; 10). Nous voyons clairement que cette sagesse était étroitement liée au Saint-Esprit.

Les deux premiers chapitres de la 1ère épître aux Corinthiens opposent deux sortes de sagesses :

1.       La sagesse du monde, ou humaine (1 Co. 1.20 ; 2.13), qui provient de la connaissance naturelle limitée et, comme l'exprime Pierre : "de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères" (1 Pi. 1.18).

2.       La sagesse de Dieu (1 Co. 1.21, 24 ; 2.7), qui a sa source dans une révélation du Saint-Esprit : "Or nous, nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa grâce. Et nous en parlons, non avec des discours qu'enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu'enseigne l'Esprit, employant un langage spirituel pour les choses spirituelles. Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge. L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne." (1 Co. 2.12‑15)

Ce que dit Paul dans ce texte n'est pas l'apanage de quelques privilégiés, mais de tous ceux qui sont nés de Dieu, et qui vivent dans la communion du Saint-Esprit. Mais n'oublions pas que si nous voulons bénéficier des trésors de la sagesse divine, nous devons nous les approprier par la foi. Dieu a promis de nous donner la sagesse dont nous avons besoin. Si nous découvrons que nous fonctionnons encore trop selon la sagesse humaine, nous pouvons demander au Seigneur sa sagesse, et il nous l'accordera, si nous la demandons avec foi :

"… Mais qu'il la demande avec foi, sans douter ; car celui qui doute est semblable au flot de la mer, agité par le vent et poussé de côté et d'autre. Qu'un tel homme ne s'imagine pas qu'il recevra quelque chose du Seigneur : c'est un homme irrésolu, inconstant dans toutes ses voies." (Ja. 1.6‑8) 

A suivre... 

 
Pasteur Jean-Claude Guillaume 
28 avril 2004

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"Si quelqu'un d'entre vous manque de sagesse, qu'il la demande à Dieu, qui donne à tous simplement et sans reproche, et elle lui sera donnée..." (Ja. 1.5)

Le début de ce texte me paraît particulièrement optimiste. En effet, il semble impliquer que le manque de sagesse serait une exception : "quelqu'un d'entre vous" ! Tous les autres auraient-ils donc toute la sagesse nécessaire ?<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

Mais que signifie exactement le mot traduit ici par sagesse ? Il dénote une excellence mentale au sens le plus élevé, exprimant une attitude autant qu'un acte de décision. Il implique également la connaissance et les meilleurs moyens de la mettre en œuvre.

Le livre des Actes nous parle de chrétiens ayant cette qualité indispensable pour les diacre, qui devaient être "pleins d'Esprit-Saint et de sagesse", comme l'était Étienne, dont il nous est dit que ses contradicteurs "ne pouvaient résister à sa sagesse et à l'Esprit par lequel il parlait." (Actes 6.3 ; 10). Nous voyons clairement que cette sagesse était étroitement liée au Saint-Esprit.

Les deux premiers chapitres de la 1ère épître aux Corinthiens opposent deux sortes de sagesses :

1.       La sagesse du monde, ou humaine (1 Co. 1.20 ; 2.13), qui provient de la connaissance naturelle limitée et, comme l'exprime Pierre : "de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères" (1 Pi. 1.18).

2.       La sagesse de Dieu (1 Co. 1.21, 24 ; 2.7), qui a sa source dans une révélation du Saint-Esprit : "Or nous, nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa grâce. Et nous en parlons, non avec des discours qu'enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu'enseigne l'Esprit, employant un langage spirituel pour les choses spirituelles. Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge. L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne." (1 Co. 2.12‑15)

Ce que dit Paul dans ce texte n'est pas l'apanage de quelques privilégiés, mais de tous ceux qui sont nés de Dieu, et qui vivent dans la communion du Saint-Esprit. Mais n'oublions pas que si nous voulons bénéficier des trésors de la sagesse divine, nous devons nous les approprier par la foi. Dieu a promis de nous donner la sagesse dont nous avons besoin. Si nous découvrons que nous fonctionnons encore trop selon la sagesse humaine, nous pouvons demander au Seigneur sa sagesse, et il nous l'accordera, si nous la demandons avec foi :

"… Mais qu'il la demande avec foi, sans douter ; car celui qui doute est semblable au flot de la mer, agité par le vent et poussé de côté et d'autre. Qu'un tel homme ne s'imagine pas qu'il recevra quelque chose du Seigneur : c'est un homme irrésolu, inconstant dans toutes ses voies." (Ja. 1.6‑8) 

A suivre... 

 
Pasteur Jean-Claude Guillaume 
28 avril 2004

"Seigneur, nous voudrions voir Jésus." Jean 12.21

"Seigneur, nous voudrions voir Jésus." Jean 12.21
 
Je viens de recevoir une lettre de ma nièce Cheryl, qui me dit qu'elle va entamer des études de droit. Elle est très intelligente et a ce charme irlandais inimitable, et je suis sûr qu'elle réussira.
 
Elle fait aussi partie de la Génération X ! Celle de 40 millions de jeunes âgés entre 18 et 35 ans, façonnés dès leur tendre enfance par deux forces : la télévision et la musique. La plupart d'entre eux ont été élevés sans connaître de vérités absolues. Aussi remettent-ils en question toutes les valeurs et traditions.
 
La vertu la plus noble à leurs yeux est la tolérance des opinions d'autrui ! La Génération X est encore à la recherche de sa propre identité. Ces jeunes haïssent l'exagération et sont capables de déceler un faux-jeton à plus d'un km ! L’une de leurs plus grandes peurs est de savoir qu'ils ne seront jamais plus riches que leurs parents.
 
Ils pensent que nous leur avons laissé en héritage un système d'éducation en ruine complète, une dette nationale insurmontable, des institutions sociales en décrépitude, les problèmes insolubles des sans-logis, du Sida, de la corruption gouvernementale et autres fléaux sociaux. Leur avenir semble parfois très sombre !
 
Mais il existe un bon côté à tout cela ! Les jeunes de la Génération X veulent voir une Eglise de Christ vraie et non factice. Ils veulent voir une différence dans la vie des gens qui se réclament d’être chrétiens. Les relations personnelles ont plus d'importance pour eux que les choses matérielles et ils accordent une vraie valeur à l'intégrité et à la loyauté.
 
L'expérience, à leurs yeux a autant d'importance que la vérité et ils veulent ressentir Dieu et pas seulement croire en un concept. En fin de compte, il me semble que la Génération X cherche en réalité… Jésus ! Si vous rencontrez un de ces jeunes aujourd'hui, parlez-lui de Jésus, et vous découvrirez que au fond de leurs cœurs sommeille le cri :
 
"Nous voudrions voir Jésus !"
 
Pasteur 
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